Formation De Consommatrice (Autobiographique)
Formation de consommatrice
(Autobiographique)
Avec des geignements et de sourdes malédictions dune voix roque et animale tu mannonces que tas trouvée lapanage sensoriel de femme quand tu te sens engainée, dégainée, rengainée et longuement ramonée tes orifices de cruche affamée. Une fois approprié deux chibres dans tes entrailles, dont tu te revendiques dorénavant propriétaire, au ptit jour comme dans la nuit. Un somnifère dont tes devenu accro, car leurs injections te somment une saillit vitale, dont tu rêves de pouvoir tendormir dessus emmanché tel, quil ne suffît que se réveiller pour recommencer le jeu. Somnolant tu poursuis létreinte double et ten ajoutes encore deux malabars, bouche et gorge tringlâtes. Jaime ta perversité de multiples prises, pour toi devenue simplement le baromètre du temps annoncé tempétueux. Non, on vit quune fois, mieux vaut le vivre cyclonique, à plusieurs vitesses pour se rassasier. Ironiquement tu lances dans lair :
« Jsuis comme dans la pub télévisé parlant de manger cinq fruits et légumes par jour pour vivre sainement. Mais jai plusieurs « bouches » à nourrir.»
Aussi naturellement possible, avec ton charme animal tu voudrais changer tes outils dassouvissements, à ne pas manger un plat réchauffé, pour trouver ton équilibre de dépravée chocotte à couvrir. Un préliminaire mouillant un max pour toi, signifie deux bouches actives sur ta caverne et appendice de clito pour un long parcourt, un doigt de chacun qui fait forage dans ton boyau et comme apogée, une queue félibre dans ta bouche et deux paires de mains prenant goulûment en charge des zones érogènes de tes nibards par deux bouffiaces de gouines. Quand ton visiteur buccal ta enfin abreuvé tu sauras te mettre plein la gueule dune de ses grottes à bites qui collaborent à ton bien être général. Tu ne distingues plus entre ptit dj, dîner et souper, pourvu que tailles ta bouffe. Même au boulot tes mal à laise si tas un ou une dévoué sous ton bureau entre tes jambes pour tabreuver, car dans ta tête, entre des dossiers à tourner, il y a toujours la même magne de pensées à contenir ta guise.
Javoue dêtre fière de mon éducation de salope donnée, tu me donnes lentière satisfaction dapprovisionnement que nous assumons au mieux possible.
Aux heures creuses je joue avec les pétales roses de ta moule lharmonica, je te siffle avec ton appendice palpitant une sonate, un téton aspiré à la fois rempli joyeusement mes quenottes, cherchant désespérément suantes quelconques lait maternel. Ta couenne rosât et périnée astiquée et stimulée me ramène à ta minaudière fontaine. Femme jusquaux bouts des onglets je te voulais et je taffirme que ty est glorieusement parvenue. Tu as appris dêtre gagneuse de plaisir à linfini. Pour en savourer ton parcourt, je te mets, comme à la première fois, le bandeau, bâillon, et un uf vibrant dans le cul. La prêtrise, le sous-diaconat vaginal souvre au cunnilingus et à la consommation brouteuse, sans que tu perdes la moindre miette. Comme cela je tai voulu, et comme cela tu tenivres de tes propres plaisirs et que tu fasses ascension du sommet en sommet. Jusquà la prochaine multi-trique à fond la caisse. Indépendant en maîtresse du plaisir.
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